vendredi 19 décembre 2008


Une question, qui jamais ne me serait venue avant, me vient souvent à l'esprit :

C'est comment la vie là bas?

Selon ses dires c'est monotone, ennuyeux, exigüe, ça fait réfléchir et ça fait mal. Parfois certains ne peuvent le supporter et les moyens de s'échapper pour un autre endroit sont apparemment nombreux.
Très nombreux.
Trop peut être?
Comment peut-on s'interroger, se rendre compte de ça quand on n'y est pas confronté, même si ce n'est qu'à travers un proche?
Je crois, et c'est bien malheureux, qu'on ne le peut.
Le mensonge, les cachoteries sur une vérité qui ,c'est triste mais pourtant existe?

C'EST MOCHE!

Néanmoins c'est grâce à de telles épreuves que l'on peut apprécier chaque moment à sa juste valeur.
Regarder la pluie tomber.
Attendre un train en fumant une cigarette.
Pouvoir s'acheter des cigarettes quand on le veut.
Marcher dans la rue.
Voir des gens.
Prendre le métro.
Ce lever le matin pour allé en cours, travailler.
J'en passe.

Toutes les choses qui nous paraissent ennuyeuses, banales ou même embêtantes sont en réalité une chance.
Et cette chance c'est la liberté.

dimanche 30 novembre 2008

C'est pas moi, c'est Shawn!

"Ça vous dérange si on écrase Britney ?
Vous la respectez vous, Britney ?
Non ?
Bon ben c'est cool alors."



lundi 3 novembre 2008

ending lifes

Nous sommes tous trompé par ce qui nous entoure et parfois les choses prennent une telle tournure que plus rien ne peux être contrôlé. Un drame peut chaque jour nous atteindre alors que nous vivons paisiblement sans nous attendre le moins du monde à ce qui pourrait arriver.
Les choix fait pour une vie meilleure ne sont pas toujours les bon et peuvent, au contraire, arrêter une vie ou du moins y mettre fin d'une autre manière.
Malgrès cela certaine choses ne peuvent et ne changerons jamais. Même si c'est inimaginable, même si c'est impossible, même si on ne peut l'admettre, même si on ne veut l'admettre.. nous devrons vivre avec chaque jour, mais lui encore plus que nous.
Mais c'est pour ça que nous réussirons, que nous ferons face et que nous serons toujours la.



Cloud so swift the rains fallin' in
Gonna' see a movie called Gunga Din.
Pack up your money put up your tent in the wind
You ain't a goin' no where

Hoo Wee ridin' be high.
Tomorrows tha day that my brides a gonna come.
Hoo Wee we gonna fly down into the easy chair.

Ghengis Kahn and his brother Don
could not keep on keepin on.
We'll climb that bridge after it's gone
After we'll wade past it.

Hoo Wee ridin' be high.
Tomorrows tha day that my brides a gonna come.
Hoo Wee we gonna fly down into the easy chair.
Buy me some rings and a gun that sings

A flute that toots and abee that stings
Asky that cries and a bird that flies
A fish that walks and adog that talks

Hoo Wee ridin' be high.
Tomorrows tha day that my brides a gonna come.
Hoo Wee we gonna fly down into the easy chair.

Hoo Wee ridin' be high.
Tomorrows tha day that my brides a gonna come.
Hoo Wee we gonna fly down into the easy chair.

dimanche 2 novembre 2008

allo ween? ici trouille!


L'américanisation a ses bons comme ses mauvais coté.
L'un des bon ce nomme Halloween.
Touchant en majorité les jeunes personnes, la commercialisation de la fête des morts ne fait pas l'unanimité en France.
En effet entre les "Halloween ça marche pas en France!","Pourquoi t'es déguisé wesh?" et autres interpelations désagréables, les personnes osant e déguisé dans notre beau pays sont plus ou moins bien vu.
Néanmoins il existe encore des personnes, qu'on classera dans la catégorie des personnes OUVERTES, qui apprécie ce petit grain de folie amené par cette fête.



Revenons à notre Halloween, celui de Laurie, Cécile et Phoebé.
Dans le froid et le vent, manque plus que la pluie et c'est la total, direction le Globo pour une soirée Halloween organisé par le fameux Nicolas Ullman.
Après quelques rire, sourires et pose pour un enterrement de vie de garçon nous entrons.
C'est vide, chouette on peut s'asseoir! La musique est sympa et les projections de films porno gores dans le ton!
Les costumes ne sont pas pour tous. Dommage, néanmoins il y en a des plus sympatiques.
L'ambiane cabaret, limite grotesque, est mise en place quand un groupe, dont personne n'aura compris le nom (Nicolas est cool quand il hurle, lance des bonbons et sautille sur place comme si il venait de sniffer 3 grammes de cocaïne, mais peu ompréhensible sur les bords!) entre scène. Déguisements, danceuses... tout est là. Néanmoins la musique est quelque peu.. désépérante? Peu être pas mais nous la dirons dans le ton de la fête!
Suite à cela nous décidons de nous rendre au social club.
Ce n'est pas une surprise, la température à du baisser de 5°C et il pleut : SYMPA!
Après une bonne demie heure de queue sous la pluie ou nous ou deux boulets égocentriques comme cela devrait être interdit nous aurons collé, une discussion de 30 secondes avec un anglais des plus cool finissant sur "Oh you're dress up! you're à bunny, you a cat, and you Dracula's girlfriend.! - No no I'm Dracula's whore! haha" nous entrons. Presque deux tiers des personnes sont alors déguisés, chouette on se sent un peu moins seules! Entre zombies, maitre sm, dark vador, fuo léopard, momies, moines et j'en passe nous dansons, nous amusons faisons des photos à coté du paradis (à savoir un petit ventilateur à coté de la scène) etc..


Il y a du monde donc il est difficile de s'asseoir.
Vers 4h30 le vrai coup de fatigue ce fait sentir et à 5h20 nous décidons de mettre fin à notre folle nuit.
Problème le matin les métros se font rares.. la demie heure la plus inssoutenable de la soirée.
06h06 L'heure des chips au lit! Une jouissance réelle.

Conclusion?
Halloween c'est cool quand on croise des gens cools, ouverts ou déguisés.
C'est aussi fatiguant mais bon ce n'est qu'un soir dans l'année ce serait fort bête de ne pas profiter!
On remet ça l'année prochaine.

jeudi 25 septembre 2008

Le Roi & l'Oiseau.


L'âne, le Roi et Moi,
Nous seront mort demain.
L'âne de faim.
Le Roi d'ennui.
Et moi d'amour.

L'âne, le Roi et Moi,
Nous seront mort demain.
L'âne de faim.
Le Roi d'ennui.
Et moi d'amour au mois de Mai.

La vie est une cerise.
La mort est un noyau.
L'amour un cerisier.

lundi 25 août 2008

L'alcool, la violence, la maladie mentale et les sequelles.



Les divagations, les délires et autres paroles dénuées de sens. Tout cela n'est-il pas en réalité le reflet de ce que nous avons réellement au fond de nous?
Ce ne sont que des moyens de fuir et par la même façon d'extérioriser.
De manière douce ou parfois trop excessive.
La demie mesure n'est pas et ne le sera pas.
L'excès est le deuxième prénom d'une jeunesse menée à la baguette par la débauche et l'inconscience.

L'enfance est en réalité la seule clef ce désastre.


Pix : Hélène Cortex

samedi 16 août 2008


Fleurpageons
Les rhododendroves
Gyrait et vomblait dans les vabes
on frimait vers les pétunias
et les momerates embradent

vendredi 8 août 2008

Ezy sur eure



Malgrès une inactivité battant son plein, ma chère garagiste et moi meme avons eu plaisir (ou du moins faisons semblant) à nous couper du monde durant quatres petits/longs jours dans la merveilleuse bourgade d'Ezy-sur-Eure. Après moultes parties de scrabble (virant parfois au salace), deux bouteilles de grand cru (le vin qui fait penser aux vacances), discussions nocturnes, fou rire, phrases cultes (encore) et j'en passe.. La garagiste et le Tarsier (merci Koh Lanta) vont s'en aller pour de nouvelles aventures de la vie parisienne nocturnes pour leur plus grand plaisir (et le votre)

A suivre..

Phrases cultes? Toujours..


-" c'est un balypulateur."
-" qui pisse face au vent ce lave les dents."
-" Phoebé fait du priapisme!"
-" - Putain on a tué Emile." (sachant qu'Emile était un bonhomme fait en pâte à modeler)
- "Je... Je... Tu ? Tu ?" c'est Julien Doré ?"
-" j'en veux pas de ton phallus."
-" miss plus belles fesses du monde."
- "Hmm... Tu pues des pieds. Je pensais que c'était pour rire mais en fait non."
-" crotte.. zut..saperlipopette."
-" je...je...tu...tu c'est julien doré ?"
-"- ah non liasse moi j'ai envie de faire caca. - attend 5min il y a deja quelqun."


lundi 28 juillet 2008

A martyr for my love for you.

Je me suis engagé trop d'avant.
Je vois que la raison cède à la violence.
Puisque j'ai commencé de rompre le silence,
Madame, il faut poursuivre. Il faut vous informer
D'un secret que mon coeur ne peut plus renfermer.
Vous voyez devant vous un Prince déplorable,
D'un téméraire orgeuil exemple mémorable.
Moi, qui contre l'amour fièrement révolté,
Aux fers de ses captifs ai longtemps insulté,
Qui des faibles mortels déplorant les naufrages,
Pensais toujours du bord contempler les orages,
Asservi maintenant sous la commune loi,
Par quel trouble me vois-je emporté loin de moi!
Un moment a vaincu mon audace imprudente.
Cette âme si superbe est enfin dépendante.
Depuis près de six mois honteux , désespéré,
Portant partout le trait, dont je suis déchiré,
Contre vous, contre moi vainement je m'éprouve.
Présente je vous fuis, absente je vous trouve.
Dans le fond des forets votre image me suit.
La lumière du jour, les ombres de la nuit,
Tout retrace à mes yeux les charmes que j'évite.
Tout vous livre à l'envi le rebelle Hippolyte.
Moi-même pour tout fruit de mes soins superflus,
Maintenant je me cherhce, et ne me trouve plus.
Mon arc, mes javelots, mon char, tout m'importune.
Je ne me souviens plus des leçons de Neptune.
Mes seuls gémissements font retentir les bois,
Et mes coursiers oisifs ont oublié ma voix.
Peut-être le récit d'un amour si sauvage
Vous fait en m'écoutant rougir de votre ouvrage.
D'un coeur qui s'offre à vous quel farouche entretien!
Quel étrange captif pour un si beau lien!
Mais l'offrande à vos yeux en doit être plus chère.
Songez que je vous parle une langue étrangère,
Et ne rejetez pas des voeux mal exprimés,
Qu'hIppolyte sans vous n'aurait jamais formés.


Phèdre Acte II, Scène III.

mercredi 23 juillet 2008

GARDEN NEF PARTY 2008




FIRST TIME.


05h00, les réveils sonnent et les yeux s'ouvrent péniblement. Le temps de se doucher, avaler un petit truc et de faire les dernières vérification nous voila sur le quai de Bécon les Bruyères direction paris.
Après une petite demie-heure de transports en commun nous voici à Montparnasse devant le tableau d'affichage : Angoulème, quai 9. Et c'est parti direction le fameux quai 9 la où nous attend le train qui nous menera vers l'aventure.
6h50 départ. Nous voici assisent, seules, dans un compartiment de seconde classe pour deux heures et demies de trajet.
L'exitation est là, ainsi que certaines angoisses. Mais celles ci se dissipent rapidement entre bavardages, crepages de cheveux où encore reprisage de gilet.
9h31 nous debarquons, chargées comme des bourriques, dans la charmante petite bourgade qu'est Angoulème.
Nous décidons de chercher une banques puis de flaner un temps. Vers 11h l'envie nous prend de rejoindre la camping. Chose faite aux alentours de 11h30.
13h : ouverture, tant attendue, du fameux camping. Nous nous installons rapidement, malgrès quelques difficultés et autre vol plané de qualités..
Après de longues heures d'attentes 16h50 nous décidons d'aller sur le site où ce déroulent les concerts afin de ne pas louper le premier groupe Archie Bronson Outfits.

Devant la scène nous regardons les quatres barbus nous offrir leur rock blues sale et agressif. Les effets du rhum commencent à ce faire sentir et le plaisir lié à la musique n'en est que multiplié. Après la claque que nous on donné cette bande de "vieux", si je puis me permettre, nous décidons d'aller prendre du bon temps devant les fameux BB Brunes.
Les effets de l'alcool sont alors à leur apogée. Ce qui me value une fabuleuse chute et un beau trou dans un pantalon en velour cotelé (s'il vous plait!). Mais qu'importe nous rions, chantons et dansons de bon coeur. Mais rions principalement. Comme une bonne partie du publique je suppose.
Après une pose adosée contre un arbre direction la grande scène afin de voir le duo The Kills. Et la deception fue. Le liens qui les unissait, leur coté sauvage et indompté n'est plus. Les kills ne sont plus que pose et commercialisation. Le dernier album, le dernier album et encore le dernier album, je ne retiendrais des anciens titres que la version fadasse et decevante a souhait de Fried my little brains.. Ne supportant pas cela je m'en vais, au milieu du show, afin d'errer sur le site du festival me posant ici et là. Regardant les gens passer, écoutant vaguement le concert.
Puis l'heure d'Heavy Trash sonna. Me dirigeant vers la petite scène je retrouve mes compères devant celle ci et durant la putain de chanson Justine Allright. Me sentant des ailes pousser je me faufile et me retrouve en quelques secondes projeté au deuxième rang. Une claque. Encore une. Voila ce que John Spencer me fait a chaque fois : il me met toujours sur le cul comme dirait l'autre.
Des étoiles pleins les yeux je m'en vais rejoindre la grande scène pour les Raconteurs. Le concert à deja commencé. Par je ne sais quel miracle je me retrouve au deuxième rang derrière des connaissances. La claque n'est pas du meme genre mais elle est tout de même la. Le seul bémole est l'absence de certain titre, notamment de "five on the five" ou de leur fabuleuse reprise de "bang bang".. Qu'importe. Ils etaient là. Encore une fois. Et on en revoudrait encore maintenant.
Fin du set. Je rejoins Elodie qui est littéralement en décomposition suite au concert. Les effets de l'alcool commencent à se dissiper. Mais ils sont tout de même assez présent pour que nous ayons la stupide idée de partir au bout d'une minute du BJM. Qu'importe, j'aurais vu le (gros) Joel. Nous errons à la recherche de mes connaissances rennaises. Que nous trouvons rapidement, l'un d'entre eux en train de mourir. Nous tentons tant bien que mal de l'aider et celui ci nous repond par une magnifique roulade arrière avant de s'écrouler trois mètre plus loin..
Il se fait tard.. Elodie a froid et veut retourner ce coucher. Elle me semble quelque peu déprimée.. Hors de question de laisser faire, je la traine de force au concert de Justice et nous nous tremoussons , bras et doigts en croix durant tout le concert. Fin du concert nous retrouvons un pote faisons un tour a l'infirmerie et rentrons au camping sans trop de difficulté, mis a part un petit abrutit que nous nommerons "Crème Nivéa" et la trop grande descente qui nous aurait tous tué si nous ne l'avions pas évitée.
Après quelques tours du camping en compagnie de Paolo et Ange nous regagnons notre campement et nous endormons ...




SECOND TIME


9h, le réveil est presque plus dure ce matin qu'hier pour Elodie, mais plutôt rapide pour moi. Après un rapide tour au lavabo, direction Angoulème. Malgrès les difficultés d'orientation et la chute de tension d'une dénommée "E." la ballade fut agréable, bien que le temps fut un peu trop chaud et beau. L'après midi au camping fut longues malgrès les quelques rebondissement, du genre "l'election de miss et mister camping", "les coups de chance de Phoebé" (notamment le fameux "huuum simpa".. il doit encore s'en souvenir...), les cassages de geule, de Phoebé cela va evidemment de soit, dans les nombreux trous, les siestes sur les tables ou nous avons bien cramés.. j'en passe et des meilleures..
16h cette fois ci nous succombons à la tentation, comme lyndsay... , et allons tôt sur le site des concerts. Nous attendons et écoutons tranquillement les Hushpuppies, adossé a un arbre, bouteille a la main. Ces dernières que nous décidons rapidement d'entamer..
Puis viens le tour de Kid Bombardos. Qui certes sont très bon pour leur jeune age mais nous font un copier coller desesperant de leur disques de chevet.. Quelques minutes plus tard, nous faisons la connaissance de l'ingénieur du son de la petite scène qui très gentiment nous offre le meilleur joins que j'ai fumé de ma vie. Nous le quittons rapidement après cela pour aller nous allonger comme des loques à l'autre bout du festival. C'est a ce moment là que, commençant a mourir, sortie la fabuleuse et bientôt célèbre citation "putain Elo je vois flou et double"... Ne sachant que faire de ma carcasse, Elodie me force a marcher et je m'écroule quelque mètre plus loin et décide de ne plus bouger de ma position en tailleur. Ma tendre amie décide de me sauver en allant me chercher quelquechose a manger... L'attente fut longue, et comblé par la voix exaspérante et les histoires inintéréssante de Mademoiselle K. Comme elle le dit elle meme dans l'une de ses chansons "personne t'aime" et cela est mon cas personel...
Bref, ayant repris des forces c'est au tour d'Elodie d'en perdre. Mais comprenant rapidement que seul un peu de repos la remettrais sur pied, je la mène à l'infirmerie. Durant une petite demie heure je me ballade. Croisant et recroisant toujours les même personne (ou du moins ne voyans que monsieur chemise à carreaux et à damiers haha). Avant les Bellrays je décide de récuperer Elodie et de l'accompagner chercher à manger. Poser devant la petite scène nous attendons les Bellrays.
Ces derniers arrivent et je m'approche. Lisa en grande forme, et toute en formes, de noir vétue nous fait comme toujours une démonstartion vocale à couper le souffle. Certe le lin-up à changé mais cela ne change rien : les bellrays sont bon. Trop bon. Pour une raison x je me décide a quitter le concert avant la fin et m'en vais attendre a coté de la scène des hives.
Le concert va commencer, Elodie me rejoins, et après lui avoir fait mille et un calins, car mon état d'ébriété était alors quelque peu avancé.., je l'entraine au milieu du public mais la perd rapidement. Peu importe , les Hives eux sont devant moi. Egal à lui meme Pelle fait son show, son frère quand à lui ne perd pas ses bonnes habitudes et lance de long et langoureux regards, aux limites de l'obscène, au public alors en furie. Il fait chaud. Trop chaud.. ce qui aura fait le plaisir d'un bon nombre de messieurs supposerons nous. Peu importe. Le concert était bon et c'est tout ce qui importe. Pour une fois je ne critiquerais meme pas le fait qu'il ai, comme d'habitude depuis quelques temps, joué beaucoup de morceaux du nouvel album.
Je rejoins Elodie sur le coté de la scène allons voir Adam Green prenon juste le temps de noter que ce dernier avait une nouvelle coupe de cheveux et repartons aussi sec direction la grande scène.
Nous nous asseyons, afin de nous reposer pour les stooges, mais le repos fut de courte durée. Entre "dance to the underground" et d'autre morceaux l'envie de danser était alors plus forte que celle de ce reposer.
L'heure du sacre de l'Iguane approche.Les Stooges sont là. Nous entrons dans la fausse durant la premiere chanson. Je manque d'étouffer. L'air autour de moi n'est plus qu'un nuage de sable. Les corps ce compressent les uns les autres puis ce rejettent. Et la, la chute fut. La chute la plus longue et douloureuse de ma vie. Après m'être fait écrasé je m'enfuie de l'enfer afin de me mettre à l'abris sur le coté. J'y retrouve un ami et discutons de tout et de rien. Le concert ne m'interesse pas. Peut etre est il bon de ne voir l'Iguane qu'une fois? Je ne sais pas.. celle ci n'était pas la bonne seconde fois pour ma part. Fin du concert nous rejoignons Elodie, encore une fois. Puis nous allons, elle et moi, voir Peaches.
Après un merveilleux plongeons sur le sol de la dénommée "E." Nous nous relevons et dansons dansons à en perdre halène et l'équilibre aussi. Qu'importe le ridicule, il ne tue pas aurons nous pensé. Le principale était de profiter car la fin du festival approchait à grands pas. A trop grands pas.. "Two boysssss for every girls!"
Fin du concert, allons voir Birdy Nam Nam, mais cela ne dura pas le temps d'un morceau, voulant faire la fete au camping nous le regagnons. Après avoir discuté avec Paolo et Ange, puis Pierre et Ben , c'est déroulé "la course a la Phoebé" la plus drole à laquelle j'ai pu assister.
Après une bonne heure et demie d'acharnement de la part du tendre Axel et du dénommé Warren (" ARRETES ") je m'en vais avec eux à leur campement tandis qu'Elodie est allé ce coucher. Cette fameuse course aura aboutit a voir a 6h30 deux jeunes adolescent de 17 ans assis dans l'herbe a discuter de leurs déboires du à l'alcool. Huuum... simpa comme elle l'aurait dit!


C'est donc à 6h30 que je m'en vais , chapelet autour du coup, rejoindre ma tente. Après une course au téléphone portable, avec de la batterie et du crédit, nous détruisons notre campement et allons rejoindre le taxis.
7h45 nous arrivons à la gare, le train est dans plus d'une heure. Durant toute cette attente, nausées et autres douleurs firent leur passage puis viens l'heure où le train arrive.
Nous allons lentement sur le quai et montons dans le TGV.
C'est finis.
La Garden Nef Party est bel et bien terminée. Le TGV nous éloigne du lieu dit et nous ramène chez nous.. A notre plus grand regret..


Ce que j'en aurais retenus de cette édition 2008 de la Garden Nef Party?
Des coups de soleil, des courbatures, un mal de dos atroce, la pire geule de bois de ma vie, beaucoup de hontes.. mais surtout, de super concert, de belles rencontres, des fou-rires, des danses endiablées, des sauvetages en tout genre, un nombre de phrases cultes incalculable, l'homme de ma vie (d'ailleurs si tu lis ça mon numéro c'est le 06.20.25. .. . ..) et celui de la sienne, une amitié renforcée ..



LE TOP DES PHRASES CULTES


- "Putain mais regarde moi ça on dirait ELEPHANTMAN quoi!!" E.
- "J'adoooooore l'art! ha ha ha ha ha ha" E. & Ph.
- "tu connais les p'tites cuillères?" B.
- "ouais elle est jolie mais je sais pas pourquoi elle me fait penser à ... un dinosaure.." Ph.
- "tu vas voir qu'à un moment on va dire tellement de connerie que je pourrais te sortir un truc genre "j'ai mal à la rotule du genoux"." Ph.
- Ph : "Oh oui je le veux son steak!" E : "Tu le veux tartare avoue!!"
- E: "Phoebé y a un mec bizare là." Cupidon: "Mais y'é souis pas bizarre!"
- "Putain Phoebé je crois que j'ai une fourmis dans les fesses.." E.
"Sali Salut les copinous ! " E. & Ph.
- "plus de seins [...] t- shirt [...] Kiss" Campeurs.
- Ph: "Attend je pousse ta bière... merde Elo j'ai fais tombé la bière de Pierre!" P: "oh il me reste que ça?!"
- "Mais.. tu t'appelles pas Marine!" A.
- "Paolo, elle à quand même dit "Copine, je t'aime, lèche moi" c'est inquiétant.." A.
- "NORMUL!" Ph. & E.
- " Putain y a au moins 3 000 tentes qui ont poussées depuis que je suis allé chier!" Campeur 1.
- " Au lieu de t'gratter la nouille tu fairais peut être bien d'aller te la laver!" Campeur 2.
- "Oh je me suis sentie LEGERE! Limite je me serais envolée des chiottes!" Ph.
- "Attention t'as une chaine de vélo autour du coup." A.
- "Putain Phoebé on dirait un pute SM là.." A.
- "Huuuum.. SIMPA!" Ph.
- "AH AH AH LA SOPHIA!" Cupidon
- "ARREEEEEEEETES" Les Rennais.
- "Putain ça me gratte le cul là" E.
- "ANGOULEME AIME MES FESSES!" E.

ET LA MEILLEURE POUR LA FIN :

"Y' é TROUVé LES POILS!!" E. & Ph.