dimanche 25 janvier 2009

Mojo is back tonight


La nouvelle m'abattit.
Les larmes ont doucement roulées sur l'ovale de mon visage.
La tristesse n'en fut qu'accentuée.

Bien heureusement :
Le laissé aller fait oublier.

Quoi de mieux que de lui rendre hommage en se dandinant sur "Rich Girls", marcher des heures pour ne jamais trouver de taxis libre, en hurlant et chantant à tout va, retrouver un ancien QG, avoir le merveilleux hasard de recroiser son ame soeur perdue de vue depuis plusieurs mois mais finir finalement en Autriche (Y à pas à dire.. On est vraiment des "sluts")

Le tout avec elle.
Comme avant.
Des souvenirs non oubliés sont alors remontés.
Ce fut comme un de ses beaux soirs d'été.
L'espace d'un soir je fus libéré de ce poids qui chaque jour me pèse, même si certaines choses m'ont fait pensées à eux et nouées l'estomac..

mercredi 21 janvier 2009

Paris by night when I'm 17

"Tu fais ta blasée mais y en a des tonnes dans le lycée qui rêverait d'être à ta place."
STOP!
Replaçons nous dans le contexte.
Mardi matin, 10h, après 2h d'études de la biographie de notre cher Shakespeare et en l'attente de 3h de Philosophie, Boubou the Howl et Riri the Seal s'entrainent dans un débat portant sur les types de soirées de l'une et celles de 90% du reste du monde lycéen.

OK. Comment dire ça.. Ce n'est pas si merveilleux!
Pourquoi?
Et bien c'est tout simple. Commençons par le commencement.

Tu es jeune, tu es beau/belle,tu as le droit de sortir et ce autre part que ton trou paumé! Ouais cool. Super cool même.
Tu découvres le monde parisien, c'est sympa mais un peu.. chiant? Oui c'est le mot. Du coup tu découvre le secret pour passer LA bonne soirée : l'alcool!
Au début tu bois une bière t'es déjà à moitié bourré c'est pratique. Mais tu te retrouves rapidement à t'enfiler un flash de tel ou tel alcool fort. Au début tu dilues le tout mais tu finis rapidement à boire au goulot, donc pur, tel un pochtron russe.
Premier désavantage donc : tu termines a moitié alcoolique à 17 ans.
J'exagère? J'en doute. Il est vrai qu'avoir envie de ce "bourrer la geule" à chaque soirée c'est tout à fait conventionnel. "Non mais je ne bois jamais seul ou chez moi". Du moins pas encore..
Bref!



Ensuite vient la découverte de substances faisant le ravissement d'un bon nombre : LES DROGUES.
Tu commences gentiment en fumant un petit joins de temps à autre. Rien de mal. C'est comme boire un petit verre de temps en temps : ça fait du bien par la où ça passe!
Puis régulièrement.
Après tu es tenté par telle ou telle chose que tes ami(e)s on déjà testé et dont tu as eu des echos favorables. Avant d'essayer tu vas lire les effets néfastes que cela peut entrainé. T'as peur une semaine mais tu oublies vite et viens le jour ou tu essaies.
C'est chouette. Tu trouves que le trip est la meilleure chose que tu n'as jamais vécue. Tu veux recommencé et ce toujours plus intensément. Tu augmentes les doses, tu passes aux drogues plus dures.



Génial tu n'as pas 20 ans et déjà on peut te cataloguer alcoolique ET/OU (ceci n'est pas une généralité certains reste en compagnie d'alcool par exemple) drogué. Hum.. SYMPA!

Un autre aspect négatif?
Quand tu traines dans tous ces lieux branchés, que tu côtoies toutes ces personnes hype etc.. tu as vite tendance à devenir toi même un petit merdeux. Pourquoi? Parce que tu te sens au dessus des autres à faire telles ou telles choses avec telles ou telles personnes. Tout ce que tu ne supportais pas chez les autres avant tu le reproduis désormais.

Et le meilleur aspect pour la fin : celui qui te fait déraper.. et parfois ça peut aller très loins.

Et pendant ce temps certains te "vénère" en se disant "qu'il est chanceux", "qu'il est cool", "qu'il est ceci", "qu'il est cela".
Ok c'est une chance de pouvoir vivre cela mais parfois je me dis que nous devrions être éloigné de certaines choses avant un certain age car avant nous sommes trop influençable.
Quand certains rêve de vie nocturne parisienne, pensez que d'autres voudraient votre de vie de lycéen. C'est à dire être invité au fête organisé par telle ou telle personne, avoir une vie sociale au sein du lycée etc..
On évolue pas tous au même rythme mais y a des jours ou j'aurais préféré "avoir une autre place" si je puis dire.

Malgré tout les aspects négatif je n'échangerais pas ce que j'ai contre ce que vous avez. Mais qu'on ne vienne pas me reprocher ceci et cela sous prétexte que vous ne le faites pas. Donnez vous les moyens et arrêtez de me faire chier.

Conclusion?
Paris c'est beau mais c'est bien vicieux aussi..

vendredi 9 janvier 2009

..


Good times for a change
See, the luck Ive had
Can make a good man
Turn bad

So please please please
Let me, let me, let me
Let me get what I want
This time

Havent had a dream in a long time
See, the life Ive had
Can make a good man bad

So for once in my life
Let me get what I want
Lord knows, it would be the first time
Lord knows, it would be the first time

vendredi 19 décembre 2008


Une question, qui jamais ne me serait venue avant, me vient souvent à l'esprit :

C'est comment la vie là bas?

Selon ses dires c'est monotone, ennuyeux, exigüe, ça fait réfléchir et ça fait mal. Parfois certains ne peuvent le supporter et les moyens de s'échapper pour un autre endroit sont apparemment nombreux.
Très nombreux.
Trop peut être?
Comment peut-on s'interroger, se rendre compte de ça quand on n'y est pas confronté, même si ce n'est qu'à travers un proche?
Je crois, et c'est bien malheureux, qu'on ne le peut.
Le mensonge, les cachoteries sur une vérité qui ,c'est triste mais pourtant existe?

C'EST MOCHE!

Néanmoins c'est grâce à de telles épreuves que l'on peut apprécier chaque moment à sa juste valeur.
Regarder la pluie tomber.
Attendre un train en fumant une cigarette.
Pouvoir s'acheter des cigarettes quand on le veut.
Marcher dans la rue.
Voir des gens.
Prendre le métro.
Ce lever le matin pour allé en cours, travailler.
J'en passe.

Toutes les choses qui nous paraissent ennuyeuses, banales ou même embêtantes sont en réalité une chance.
Et cette chance c'est la liberté.

dimanche 30 novembre 2008

C'est pas moi, c'est Shawn!

"Ça vous dérange si on écrase Britney ?
Vous la respectez vous, Britney ?
Non ?
Bon ben c'est cool alors."



lundi 3 novembre 2008

ending lifes

Nous sommes tous trompé par ce qui nous entoure et parfois les choses prennent une telle tournure que plus rien ne peux être contrôlé. Un drame peut chaque jour nous atteindre alors que nous vivons paisiblement sans nous attendre le moins du monde à ce qui pourrait arriver.
Les choix fait pour une vie meilleure ne sont pas toujours les bon et peuvent, au contraire, arrêter une vie ou du moins y mettre fin d'une autre manière.
Malgrès cela certaine choses ne peuvent et ne changerons jamais. Même si c'est inimaginable, même si c'est impossible, même si on ne peut l'admettre, même si on ne veut l'admettre.. nous devrons vivre avec chaque jour, mais lui encore plus que nous.
Mais c'est pour ça que nous réussirons, que nous ferons face et que nous serons toujours la.



Cloud so swift the rains fallin' in
Gonna' see a movie called Gunga Din.
Pack up your money put up your tent in the wind
You ain't a goin' no where

Hoo Wee ridin' be high.
Tomorrows tha day that my brides a gonna come.
Hoo Wee we gonna fly down into the easy chair.

Ghengis Kahn and his brother Don
could not keep on keepin on.
We'll climb that bridge after it's gone
After we'll wade past it.

Hoo Wee ridin' be high.
Tomorrows tha day that my brides a gonna come.
Hoo Wee we gonna fly down into the easy chair.
Buy me some rings and a gun that sings

A flute that toots and abee that stings
Asky that cries and a bird that flies
A fish that walks and adog that talks

Hoo Wee ridin' be high.
Tomorrows tha day that my brides a gonna come.
Hoo Wee we gonna fly down into the easy chair.

Hoo Wee ridin' be high.
Tomorrows tha day that my brides a gonna come.
Hoo Wee we gonna fly down into the easy chair.

dimanche 2 novembre 2008

allo ween? ici trouille!


L'américanisation a ses bons comme ses mauvais coté.
L'un des bon ce nomme Halloween.
Touchant en majorité les jeunes personnes, la commercialisation de la fête des morts ne fait pas l'unanimité en France.
En effet entre les "Halloween ça marche pas en France!","Pourquoi t'es déguisé wesh?" et autres interpelations désagréables, les personnes osant e déguisé dans notre beau pays sont plus ou moins bien vu.
Néanmoins il existe encore des personnes, qu'on classera dans la catégorie des personnes OUVERTES, qui apprécie ce petit grain de folie amené par cette fête.



Revenons à notre Halloween, celui de Laurie, Cécile et Phoebé.
Dans le froid et le vent, manque plus que la pluie et c'est la total, direction le Globo pour une soirée Halloween organisé par le fameux Nicolas Ullman.
Après quelques rire, sourires et pose pour un enterrement de vie de garçon nous entrons.
C'est vide, chouette on peut s'asseoir! La musique est sympa et les projections de films porno gores dans le ton!
Les costumes ne sont pas pour tous. Dommage, néanmoins il y en a des plus sympatiques.
L'ambiane cabaret, limite grotesque, est mise en place quand un groupe, dont personne n'aura compris le nom (Nicolas est cool quand il hurle, lance des bonbons et sautille sur place comme si il venait de sniffer 3 grammes de cocaïne, mais peu ompréhensible sur les bords!) entre scène. Déguisements, danceuses... tout est là. Néanmoins la musique est quelque peu.. désépérante? Peu être pas mais nous la dirons dans le ton de la fête!
Suite à cela nous décidons de nous rendre au social club.
Ce n'est pas une surprise, la température à du baisser de 5°C et il pleut : SYMPA!
Après une bonne demie heure de queue sous la pluie ou nous ou deux boulets égocentriques comme cela devrait être interdit nous aurons collé, une discussion de 30 secondes avec un anglais des plus cool finissant sur "Oh you're dress up! you're à bunny, you a cat, and you Dracula's girlfriend.! - No no I'm Dracula's whore! haha" nous entrons. Presque deux tiers des personnes sont alors déguisés, chouette on se sent un peu moins seules! Entre zombies, maitre sm, dark vador, fuo léopard, momies, moines et j'en passe nous dansons, nous amusons faisons des photos à coté du paradis (à savoir un petit ventilateur à coté de la scène) etc..


Il y a du monde donc il est difficile de s'asseoir.
Vers 4h30 le vrai coup de fatigue ce fait sentir et à 5h20 nous décidons de mettre fin à notre folle nuit.
Problème le matin les métros se font rares.. la demie heure la plus inssoutenable de la soirée.
06h06 L'heure des chips au lit! Une jouissance réelle.

Conclusion?
Halloween c'est cool quand on croise des gens cools, ouverts ou déguisés.
C'est aussi fatiguant mais bon ce n'est qu'un soir dans l'année ce serait fort bête de ne pas profiter!
On remet ça l'année prochaine.